Avec la nouvelle RE2020, rénover avec les matériaux biosourcés comme la paille, le liège ou la terre crue, est devenu un investissement stratégique qui fait grimper la valeur de votre maison.
Au-delà de l’étiquette : la performance énergétique redéfinie
Le premier facteur qui a changé la donne, c’est la performance. Un bon DPE est devenu un argument de vente majeur. Et sur ce terrain, les matériaux biosourcés ont un super-pouvoir. Un super-pouvoir que les autres n’ont pas.
Leur capacité à protéger du froid est excellente. Mais leur vraie force, c’est en été. Grâce à leur forte densité, ils ont un « déphasage thermique » exceptionnel. Ils ralentissent la chaleur de plus de 10 heures. C’est la différence fondamentale entre une maison qui reste fraîche naturellement et une passoire qui surchauffe.
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Le confort d’été, le nouveau luxe que tout le monde s’arrache
Avec les canicules, le confort d’été est devenu le nouveau critère de luxe. Une maison qui reste fraîche sans clim, c’est un bien de plus en plus rare. Et donc, de plus en plus recherché.
Les matériaux naturels agissent comme une climatisation passive. Ils absorbent la chaleur du jour et la relâchent la nuit. Pour un acheteur, c’est la promesse d’un confort supérieur et d’économies sur les factures. Cet atout se répercute directement sur le prix de vente.
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Un air plus sain, un argument de vente imparable
La valeur d’une maison ne se mesure plus qu’à sa performance thermique; mais aussi à la qualité de vie qu’elle offre. Les matériaux modernes sont souvent sources de polluants. Ils dégradent la qualité de l’air intérieur.
Les matériaux naturels, au contraire, sont « perspirants ». Ils respirent, ils régulent l’humidité et ils ne dégagent aucune substance nocive. Vendre une maison « saine » est devenu un argument de vente puissant. Il séduit une clientèle de plus en plus informée.

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L’empreinte carbone, le nouveau critère de la désirabilité
La conscience écologique des acheteurs a évolué. L’impact environnemental d’un bâtiment est un critère de plus en plus important.
Un bien construit avec des matériaux biosourcés, comme la paille ou la terre, a une empreinte carbone bien plus faible. Cette « valeur verte » le rend plus désirable sur le marché et le positionne comme un bien d’avenir.
Un investissement, pas une dépense : le calcul a changé
Le coût de ces matériaux peut être un peu plus élevé, c’est vrai; mais le calcul a changé. Il ne s’agit plus d’une dépense, mais d’un investissement.
Les aides de l’État favorisent de plus en plus les matériaux biosourcés. Cela réduit l’effort financier de départ. Et à la revente, les bénéfices sont multiples: un meilleur DPE, des factures réduites, un confort supérieur.
Autant d’atouts qui justifient un prix de vente plus élevé. Et qui transforment un choix écologique en une opération financièrement très pertinente.